She said she tended to think of the world as something that had killed her husband and the farm as their beloved and safe place
Ce bon vieux Jim Harrison.
I don't entirely agree though. The world is what we make of it. Le monde comme entourage, en tout cas.
Mon entourage voit son entourage comme un ouragan. Le mien est une prairie à l'automne, coloré même s'il pleut, parfois. Comment ça peut être le même monde ?
Le truc marrant c'est qu'je suis la seule à ne pas être sous médocs, je mange plus sainement, je bouge plus. Mais alors, est-ce que ça se pourrait que j'aie raison ?
A les entendre, je bullshit à longueur de journée.
Anywway. Je précise bien, on parle bien du monde comme entourage. Parce que sinon là, c'est le bordel. Quand même. Ils disent, en tout cas. On les écoute. Pourquoi, je sais toujours pas. Mais même quand on croit ne pas les écouter, on les écoute. Et ça entraîne la machine.
J'ai jamais rien compris au monde en grand, t'façon. Avant je comprenais pas non plus l'entourage. Maintenant, au moins, celui là je l'ai saisi. C'est pas la grosse harmonie, mais je comprends. Alors ça suffit. Comme monde, à encaisser.
J'en oublie parfois l'année de ouf-guedin :
Le pire c'est que dans cinq semaines je reprends du service. Littéralement. Je suis en paix avec ça. Et en même temps non.
La contradiction pure, quoi. Mais la rigolade. La rigolade.
C'est tout.